Mon premier mois chez Synbioz en tant que dev back-end

Publié le 9 décembre 2019 par Willow Barraco | agence

Cet article est publié sous licence CC BY-NC-SA

Qui suis-je ?

J’ai quitté ma dernière boîte en août dernier. Le travail vite fait mal fait dans un contexte de rythme effréné des sprints ne correspondait clairement pas à mes attentes. En plus, continuer de travailler sur du PHP alors que sur mon temps libre j’utilise de plus en plus des technos comme Python et surtout Elixir m’a fait perdre ma motivation.

J’ai fini par me lasser des réponses LinkedIn et Indeed ainsi que des entretiens frustrants avec des RH qui ne semblent pas être des interlocuteurs avec lesquels je puisse développer mes positions technologiques.

J’ai finalement découvert Synbioz un peu par hasard. J’ai fini par taper quelque chose comme « Elixir poste développeur » sur DuckDuckGo, un peu par désespoir je dois dire. Je suis tombé sur ce qui semblait être une petite structure de développement bien sympathique. La page nos valeurs, ainsi que les quelques articles que j’ai parcourus, ont achevé de me convaincre. Un formulaire rempli, quelques échanges par mail et visioconf, et j’étais parti pour aller vivre à l’autre bout de la France.

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Qu’ai-je fait ce premier mois ?

Première semaine, faisons connaissance

Durant cette première semaine, mon agenda a été rempli de différents entretiens avec la plupart des collaborateurs de chez Synbioz. Ces échanges ont pour objectif de faire connaissance et de connaître un peu le parcours, les passe-temps et les aspirations de chacun. En faisant d’une pierre deux coups, j’apprends les différentes facettes de l’organisation et je prépare mon poste.

C’est une approche que je trouve plus intéressante que de simplement présenter le rôle de la personne au sein de la boîte. On y met surtout en avant nos vies personnelles et c’est le côté humain qui ressort. Nous prenons également un moment cette semaine pour faire un tour d’horizon des différents projets en cours chez Synbioz, ainsi que des clients du moment.

Seconde semaine, à la salle !

Durant cette semaine, nous nous sommes réunis avec Quentin, une autre recrue, pour recevoir une formation Ruby on Rails, mais Ruby avant tout, avec Nico (notre lead dev technique).

Ayant déjà joué avec de nombreux autres frameworks web, je trouve rapidement mes marques. Nous faisons le tour des principales fonctionnalités de Rails et nous mettons en pratique tout ça dans un projet bac à sable de gestion de recette. Cette session a duré 3 jours et la semaine est courte (premier novembre oblige).

Je profite de mon dernier jour pour attaquer la rédaction de ce billet de blog et apprécier la présentation de Benoit sur la gestion de la concurrence en Elixir.

Troisième semaine, vas-y viens on y va

Ça y est. C’est parti ! Cette semaine, j’attaque des développements Rails. Pour me faire les dents, on me lance sur le projet Una. C’est un ERP interne de suivi, gestion des congés et autres joyeusetés.

Je commence par faire le tour de tickets estampillés 1.17 pour valider d’anciens développements. J’en profite pour soulever des bugs dans de nouveaux tickets que je reprendrai ensuite.

Enfin et dernier point pour cette semaine : la stack de développement Docker ayant tout récemment évolué dans les différents projets chez Synbioz, je me charge de porter ces avancées dans Una. On parle ici de stack de dev, de test ainsi que des scripts CI. J’ai beaucoup d’expérience dans la construction de stack Docker et les templates sont particulièrement bien travaillés. Aussi, j’avance rapidement et je fais relire mes premières MR !

Fin du mois

Une fois la validation faite et les derniers retours sur la version 1.17 traités, et bien, partons sur la 1.18 ! Les tickets sont sélectionnés autour de la notion des congés auxquels nous allons apporter quelques solutions.

Certains aspects comme les jours de vacances supplémentaires d’ancienneté ainsi que les différents modes de calculs en fonction des différents types de contacts sont manquants. Nous allons remédier à cela !

Je commence par prendre connaissance des tickets ainsi que des discussions qui ont déjà eu lieu autour. J’essaie d’apporter ma pierre à certaines d’entre elles avant d’attaquer les développements. Je commence à prendre mes marques, moi, avec ce framework.

Je termine ensuite ce mois avec cet article, une tasse de café à la main.

Mes premiers retours à propos de Synbioz

Je souhaiterais ici présenter mes réflexions sur les différents aspects positifs (ou négatifs !) du travail chez Synbioz.

Ambiance et aspect humain

Que ce soit avec les autres développeurs ou avec la direction, le contact est super bien passé. Les échanges sont faciles, les informations semblent circuler avec transparence.

Un autre aspect plus discret chez Synbioz est l’engagement de son équipe autour de valeurs communes humanistes ainsi que d’une grande ouverture d’esprit sur de nombreux sujets, techniques ou non.

Formation et partage de connaissances

L’équipe rédige périodiquement des articles sur son blog. Une demi-journée est réservée par semaine pour permettre à chacun de faire des présentations sur le sujet qu’il souhaite. J’ai eu droit à 3 jours de temps de Nico pour me former sur Rails. Tous ces aspects traduisent une réelle volonté de partager les connaissances et de faire régulièrement de la veille technique. Des qualités que l’on recherche en tant que développeur.

Flexibilité

Les membres de l’équipe de Synbioz remontent depuis quelque temps leur volonté de pouvoir adapter leurs horaires de travail. L’équipe de direction a su écouter cette volonté et a trouvé un moyen de permettre à chacun de travailler dans des conditions optimales. Chacun peut dorénavant adapter ses horaires de bureaux et définir un planning de manière plus souple.

Malgré cet effort, la flexibilité chez Synbioz reste selon moi relative. Le travail en remote doit être anticipé et les horaires restent fixes par période. Ça a le mérite d’organiser les horaires de l’équipe autour de moments communs mais reste selon moi vraiment rigide. J’ai pu malgré tout constater que cette rigueur peut s’assouplir en cas de besoin occasionnel.

Mes conclusions !

Ce premier mois chez Synbioz est pour moi l’un des meilleurs premiers mois professionnels que j’ai connu. Bon, j’ai 24 ans, d’accord. Mais quand même ! Il n’empêche que je suis déjà passé par quelques autres équipes et cadres de travail.

Ce début me rend très enthousiaste et ne présage que du bon pour l’avenir ! C’est je l’espère une longue collaboration qui s’initie !

– L’équipe Synbioz.
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